• Chapitre 1 - Planter le décors

    -Aïee! , hurlais-je. 

    Je venais de me prendre le pied dans un des cartons qui jonchaient sur le sol.    

     -On ne peut même plus poser un pied devant l'autre ici! , me plaignis-je, mais personne ne me répondit ni même ne me prêta attention alors je décidais de poser les quelques livres que je tenais dans un carton à moitié plein et finis par me laisser tomber mollement sur le canapé. J'observais tour à tour ma mère et ma sœur qui remplissaient les cartons avec toutes sorte d'affaires. Ma mère plutôt soucieuse de son apparence avait attaché très élégamment ses cheveux brun avec une pince contrairement à Valentina qui laissait ses longues mèches platines retomber sur sa figure. Quand ma mère s'aperçut que je me prélassais sur le sofa, elle m'invita à les aider. Je ne pu même pas protester, elle affichait un sourire si doux. 

    Quand mon père eut fini sa longue conversation téléphonique avec je-ne-sais quels gens louches, les cartons étaient tous prêt mais avant de partir, je m'étais promis de faire le tour de mon quartier une dernière fois. J'en profitais pour renverser les poubelles des personnes que je n'aimais pas, de toute façon je ne reviendrais jamais ici, pensais-je simplement. Je finis cette promenade en retrouvant mon seul et unique ami qui se trouvait à l'hôpital à cause d'une tentative de suicide qu'avaient encouragé nos satanés camarades de classe. Je m'étais assis à son chevet.

    -Je pars pour l'Angleterre, Lev, lui dis-je tout en tenant sa main entre les miennes. 

    Il avait les yeux fermés, trop faible pour parler où bouger mais je vis ses paupières frémir, comme un signe pour me dire qu'il m'avait entendu. Je me levais mais avant de quitter la pièce je me mis à détailler chaque recoins de la chambre une dernière fois. Tout ce blanc immaculé et Lev au milieu, mutilé contrastait tellement que je me sentis mal, essayant de réprimer un sentiment d'angoisse et de pitié à la fois... Je voulais regagner ma maison le plus vite possible avant de succomber à cette sensation de mal-être.

    Dans la petite ruelle sale et étroite qui servait de raccourcis jusqu'à chez moi, je croisais le groupe d'élèves qui avaient poussé mon ami de mettre fin à sa vie. Deux choix s'offraient à moi. Un, je tentais de venger Lev en leur pétant la gueule et finissais moi aussi à l'hôpital, deux, je passais et continuais ma route comme si de rien n'était mais regretterais sans doute ce choix toute ma vie. Mon cerveau surchauffait tandis que nous nous rapprochions... J'avais l'impression que la scène se passait au ralenti, chaques pas que je faisais et qui me rapprochaient d'eux était un supplice, quand soudain, une lueur de lucidité m'éclaira. Je sautais d'un bond sur un des gars. Ils étaient 5, je savais très bien qu'ils allaient gagner mais une poussée d'adrénaline me fit sentir comme invincible. Je rouais de coups la personne en dessous de moi et la martelais au visage en hurlant des choses comme ''pourquoi vous lui avez infligé ça?!'' où ''vous allez tous crever, pourritures!'' . Je ressentais quelque chose qui animait en moi du mépris et de l'agressivité, ainsi me poussait à le frapper sans relâche. Je déversais mes paroles pleines de dégoût pour eux, en coups. Mais soudain un des autres gars m'attrapa par les épaules et me souleva. Je pus voir un cours instant que mon travail avait porté ses fruits, le mec que je venais de cogner était défiguré. Quand un coup de poing me cueillit en plein dans le nez, un cris m'échappa... Du sang en coulait. Un autre choc se fit sentir au niveau de la joue et un autre à la mâchoire. A peine remis de ses trois chocs, le coup de grâce, un crochet dans l'œil droit. Celui qui me tenait me lâcha. Je m'écroulais et le groupe entier se rua sur moi. Des coups de pieds. Des griffures. Je fis mine de m'être évanoui et j'attendis, recroquevillé sur moi-même, que la bande disparaissent. 

    Je rentra dans la maison en courant comme un dératé et montais à l'étage, dans la salle de bain. Je me considérais dans le miroir et examinais mes blessures. Je constatais que mes cheveux étaient en bataille puis je tâtais doucement de ma main tremblante la griffure sur ma joue gauche et resta sans voix devant ce coquard que m'avait fait ce gars. Puis je nettoyais le sang coagulé qui avait coulé de mon nez à l'aide d'un coton et en le jetant à la poubelle j'aperçus des ecchymoses un peu partout sur mes bras. Je ne voulais pas inquiéter ma mère, je pansais toutes ces blessures et lui mentirais en disant que je suis tomber dans les escaliers. 

    Il était peut-être temps de partir, finalement? Et de tout recommencer à zéro...

     

     

     

    PS : C'est la première fois que j'écris autant de ma vie attttttention xDD, bref, j'espère que ce chapitre aura su vous plaire et n'hésitez pas à donner votre avis ^^ genre si c'est nul faite un euphémisme, si c'est bien faite une métaphore.. Je rigole, si c'est nul, dite moi ce qu'il faut que j'améliore :D

    Désolé pour les fautes, je suis encore en apprentissage, c'est pour ça que je vais à l'école UwU Nan, j'ai aucune excuse en faite, désolé! ;w;


  • Commentaires

    1
    Mercredi 20 Juillet 2016 à 17:07

    C'est NUUUUUUUUL va te peeeeeeeeeeeeeeeendreeeeeeeeeeeeeeeuh Whesh

      • Mercredi 20 Juillet 2016 à 17:20

        Ok. 

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        C'est ainsi que Ma- euuuuh Kogepan mourra suite à une injure d'un rageux peu content.

    2
    Mercredi 20 Juillet 2016 à 17:22

    Pouhahahhaha XDDDDDD je suis ecrouler XDDD

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    3
    Mercredi 20 Juillet 2016 à 17:24

    Mère de Kogepan : Merci d'avoir tuer ma fille, j'en pouvais plus d'elle et de son SFR ... ELLE ME CASSAIT LES NOIX merci encore, viens chez nous quand tu veux,je te donnerais un gâteau :3

    4
    Mercredi 20 Juillet 2016 à 17:24

    Pouhahahahahhahahha XDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDD

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